Actualité – Décembre 2023

Jacques Flament Éditions, 2023

QUATRIÈME DE COUVERTURE…

Un beau matin d’hiver, l’histoire d’amour n’en finissait pas d’en finir.
Mais avait-elle un jour réellement commencé ?
Quand les poissons ont soif d’amour
Ils remontent les rivières en pleurant

UNE RIVIÈRE, poèmélancoliquide, est une histoire d’amour et de larmes qui se remonte à contre-courant. Poème obstiné qui n’en finit pas de dire je t’aime.
Les textes ici rassemblés, dialogues fantômes avec l’invisible, l’absent, le lointain, ont été écrits et sauvés pour tenter de dire l’existence du sentiment amoureux et pour le maintenir en vie. Parce que la poésie, cet espace de liberté absolue, encre nos désirs.

UNE RIVIÈRE

Jacques Flament Éditions, 2023

QUATRIÈME DE COUVERTURE…

Un beau matin d’hiver, l’histoire d’amour n’en finissait pas d’en finir.
Mais avait-elle un jour réellement commencé ?
Quand les poissons ont soif d’amour
Ils remontent les rivières en pleurant

UNE RIVIÈRE, poèmélancoliquide, est une histoire d’amour et de larmes qui se remonte à contre-courant. Poème obstiné qui n’en finit pas de dire je t’aime.
Les textes ici rassemblés, dialogues fantômes avec l’invisible, l’absent, le lointain, ont été écrits et sauvés pour tenter de dire l’existence du sentiment amoureux et pour le maintenir en vie. Parce que la poésie, cet espace de liberté absolue, encre nos désirs.

Actualité – Septembre 2023

En collaboration avec Le Cercle des Papillons Bleus,

Emmanuelle Sarrouy Présente

PERSIKOV (… le chemin des fleurs), 2016-2020

Lecture de Si seulement Alice… – Samedi 23 septembre 2023 – 11h

« si seulement… » est une expression de l’enfance
elle ouvre les portes et le chemin des possibles

dans mon texte Alice a la peau marron
elle s’envole
elle rêve
et nous invite à
envisager le monde
autrement

« Mais alors, dit Alice, si le monde n’a absolument aucun sens qui nous empêche d’en inventer un ? » Lewis Carroll, Alice au pays des merveilles

PERSIKOV (… le chemin des fleurs), 2016-2020 © emmanuelle sarrouy
Emmanuelle Sarrouy lit Si seulement Alice…
PERSIKOV (… le chemin des fleurs) © emmanuelle sarrouy

Actualité bis – Juillet 2023

éditions Gros Textes, 2023 – couverture © Hélène Bez

EXTRAIT

poulpieuvre
interroge
perplexe
mondes convexes
mots complexes
fil du texte
et inverse
traverse
mondes mystères
vents contraires
sans frontières
lampyridcoléoptère

16 novembre 2022

*** *** ***

Poulpe préalable par Olivier Bastide

Un jour, Poulpe m’a souhaité « bon anniversaire!». Je connaissais déjà une grande partie de sa famille ; une amie commune Emmanuelle Sarrouy nous avait, d’une certaine façon, présentés. Poulpe, que je connaissais donc par diverses occasions, parlait du petit matin, du soir venu, de l’amour, de la mort, de la naissance, sans doute de quelques musiques et de multiples autres choses dont les fleurs, les pleurs, les rires…

Poulpe était un sociologue, un ethnologue, un passant du coin de la rue, un chroniqueur des jours heureux.

Jusqu’alors Poulpe, pour moi, n’était pas un nom propre, pas le nom de cette innombrable famille. Non, c’était le nom bien commun de la bestiole, synonyme de pieuvre, que préparait ma belle-mère dans sa casserole avant qu’elle n’atterrisse dans mon assiette en salade, en magnifique salade, l’Insalate di polpo !

Je vous prie de m’excuser Poulpe, Madame Poulpe, Monsieur Poulpe, Enfant Poulpe ; je vous prie de m’excuser et tire mon chapeau à notre grande amie commune, Emmanuelle, qui me permet par ces propos des plus sérieux, des plus légers, de vous rendre hommage.

Olivier Bastide – mardi 25 avril 2023

poulpe, pieuvre, et autres pensées tentaculaires

éditions Gros Textes, 2023 – couverture © Hélène Bez

EXTRAIT

poulpieuvre
interroge
perplexe
mondes convexes
mots complexes
fil du texte
et inverse
traverse
mondes mystères
vents contraires
sans frontières
lampyridcoléoptère

16 novembre 2022

*** *** ***

Poulpe préalable par Olivier Bastide

Un jour, Poulpe m’a souhaité « bon anniversaire!». Je connaissais déjà une grande partie de sa famille ; une amie commune Emmanuelle Sarrouy nous avait, d’une certaine façon, présentés. Poulpe, que je connaissais donc par diverses occasions, parlait du petit matin, du soir venu, de l’amour, de la mort, de la naissance, sans doute de quelques musiques et de multiples autres choses dont les fleurs, les pleurs, les rires…

Poulpe était un sociologue, un ethnologue, un passant du coin de la rue, un chroniqueur des jours heureux.

Jusqu’alors Poulpe, pour moi, n’était pas un nom propre, pas le nom de cette innombrable famille. Non, c’était le nom bien commun de la bestiole, synonyme de pieuvre, que préparait ma belle-mère dans sa casserole avant qu’elle n’atterrisse dans mon assiette en salade, en magnifique salade, l’Insalate di polpo !

Je vous prie de m’excuser Poulpe, Madame Poulpe, Monsieur Poulpe, Enfant Poulpe ; je vous prie de m’excuser et tire mon chapeau à notre grande amie commune, Emmanuelle, qui me permet par ces propos des plus sérieux, des plus légers, de vous rendre hommage.

Olivier Bastide – mardi 25 avril 2023